Lettre de Beauharnois et d'Aigremont au ministre - veilleront "à l'économie spirituelle et temporelle de l'hôpital des frères Charon de Montréal et suivront les vues qu'ils ont d'établir des maîtres d'école dans chaque paroisse"; tâcheront d'avoir chaque année un juste état "du produit des fruits" de la terre; protègeront le commerce des marchands forains; laisseront sortir librement les denrées destinées à l'île Royale; demandent des ordres pour que le commerce de la Nouvelle-Angleterre dans cette île ne cause aucun tort au commerce canadien; se conformeront aux lettres patentes concernant le commerce étranger dans les colonies; tâcheront de "pourvoir au remplacement de ce que" les Antilles tiraient de la Nouvelle-Angleterre, tels les bois, poissons et huiles de poisson; favoriseront le commerce des chevaux et des bestiaux avec les Iles, même si les bâtiments du Canada ne sont pas assez grands pour cela; se concerteront avec les autorités des autres colonies (d'Orgeville, Champigny, Saint-Ovide, Mézy) pour développer le commerce intercolonial, dont celui "par entrepôt à l'île Royale"; exciteront les habitants à s'établir "du côté du sud en descendant le fleuve", même si toute la côte depuis l'île Saint-Barnabé jusqu'à Gaspé est inhabitable; veilleront à l'exécution des ordres concernant la distribution de l'eau-de-vie, "la défense des indiennes" et les prix des différentes espèces de castor; on "sera très réservé dans la distribution des 18 médailles" reçues pour les Indiens; ont remis à Courval ses provisions de procureur du roi à Trois-Rivières; n'ont pas de nouvelles récentes de l'établissement des Anglais sur l'Ouabache; les Abénaquis de l'Acadie auront part à la gratification de 4000 l. réservée auparavant aux seuls Abénaquis domiciliés: consulteront le père de La Chasse pour sa distribution; les 99 soldats de recrue ont suffi à peine à remplacer les invalides, les soldats congédiés et ceux qui s'établissent au pays; demandent quelques compagnies de troupes réglées si on n'accorde point les 1500 hommes demandés par Beauharnois; demandent des couteliers et des scieurs de long; le mémoire de Beauharnois et Dupuy sur la pêche aux marsouins n'a pas été complété, à cause du voyage de Boishébert en France (concurrence néfaste des riverains); gratification continuée à Peire; échec des efforts de Beauharnois pour vivre en bonne intelligence avec Dupuy; dettes du frère Chrétien; gratification octroyée aux hospitalières de Montréal; augmentation de fonds sollicitée par ces religieuses et par les ursulines de Trois-Rivières pour leur coffre de remède; vases et ornements accordés aux jésuites pour l'église de Narantsouak; envoi d'un missionnaire chez les Hurons de Détroit et de deux jésuites chez les Sioux (instruments de mathématiques à remplacer); moyens de réduire le commerce de Chouaguen: ordres donnés pour obliger les voyageurs qui reviennent des pays d'en haut à passer par le nord du lac Ontario, proposition de fournir le poste de Niagara de toutes les marchandises nécessaires aux Indiens et de les leur donner à meilleurs prix que ceux fixés par la Compagnie des Indes; projet de Chaussegros de Léry d'établir un poste à la Galette; projet discutable d'enlever aux officiers l'exploitation des postes de l'Ouest et de les affermer à des marchands; motifs de l'expédition de Lignery contre les Renards: nombreux coups de ces Indiens, envoi de colliers souterrains par les Anglais aux nations de l'Ouest; refus du roi de faire construire une citadelle à Québec; nécessité de fortifier cette ville (projet de Chaussegros de Léry); travaux effectués à l'enceinte de Montréal (fonds annuel); difficulté de faire le recouvrement de l'imposition (retenues effectuées sur la gratification des sulpiciens): proposition de décharger les habitants de Montréal des six années d'arrérages et de leur faire payer, à compter de 1730, la somme de 5000 l. par année; confection du papier terrier: aide fournie aux sulpiciens par Raimbault; abondance de la récolte; remboursement des dépenses de Lignery; réclamations de Duplessis-Faber et Villiers. Lettre de Beauharnois et d'Aigremont au ministre - veilleront "à l'économie spirituelle et temporelle de l'hôpital des frères Charon de Montréal et suivront les vues qu'ils ont d'établir des maîtres d'école dans chaque paroisse"; tâcheront d'avoir chaque année un juste état "du produit des fruits" de la terre; protègeront le commerce des marchands forains; laisseront sortir librement les denrées destinées à l'île Royale; demandent des ordres pour que le commerce de la Nouvelle-Angleterre dans cette île ne cause aucun tort au commerce canadien; se conformeront aux lettres patentes concernant le commerce étranger dans les colonies; tâcheront de "pourvoir au remplacement de ce que" les Antilles tiraient de la Nouvelle-Angleterre, tels les bois, poissons et huiles de poisson; favoriseront le commerce des chevaux et des bestiaux avec les Iles, même si les bâtiments du Canada ne sont pas assez grands pour cela; se concerteront avec les autorités des autres colonies (d'Orgeville, Champigny, Saint-Ovide, Mézy) pour développer le commerce intercolonial, dont celui "par entrepôt à l'île Royale"; exciteront les habitants à s'établir "du côté du sud en descendant le fleuve", même si toute la côte depuis l'île Saint-Barnabé jusqu'à Gaspé est inhabitable; veilleront à l'exécution des ordres concernant la distribution de l'eau-de-vie, "la défense des indiennes" et les prix des différentes espèces de castor; on "sera très réservé dans la distribution des 18 médailles" reçues pour les Indiens; ont remis à Courval ses provisions de procureur du roi à Trois-Rivières; n'ont pas de nouvelles récentes de l'établissement des Anglais sur l'Ouabache; les Abénaquis de l'Acadie auront part à la gratification de 4000 l. réservée auparavant aux seuls Abénaquis domiciliés: consulteront le père de La Chasse pour sa distribution; les 99 soldats de recrue ont suffi à peine à remplacer les invalides, les soldats congédiés et ceux qui s'établissent au pays; demandent quelques compagnies de troupes réglées si on n'accorde point les 1500 hommes demandés par Beauharnois; demandent des couteliers et des scieurs de long; le mémoire de Beauharnois et Dupuy sur la pêche aux marsouins n'a pas été complété, à cause du voyage de Boishébert en France (concurrence néfaste des riverains); gratification continuée à Peire; échec des efforts de Beauharnois pour vivre en bonne intelligence avec Dupuy; dettes du frère Chrétien; gratification octroyée aux hospitalières de Montréal; augmentation de fonds sollicitée par ces religieuses et par les ursulines de Trois-Rivières pour leur coffre de remède; vases et ornements accordés aux jésuites pour l'église de Narantsouak; envoi d'un missionnaire chez les Hurons de Détroit et de deux jésuites chez les Sioux (instruments de mathématiques à remplacer); moyens de réduire le commerce de Chouaguen: ordres donnés pour obliger les voyageurs qui reviennent des pays d'en haut à passer par le nord du lac Ontario, proposition de fournir le poste de Niagara de toutes les marchandises nécessaires aux Indiens et de les leur donner à meilleurs prix que ceux fixés par la Compagnie des Indes; projet de Chaussegros de Léry d'établir un poste à la Galette; projet discutable d'enlever aux officiers l'exploitation des postes de l'Ouest et de les affermer à des marchands; motifs de l'expédition de Lignery contre les Renards: nombreux coups de ces Indiens, envoi de colliers souterrains par Lettre de Beauharnois et d'Aigremont au ministre - veilleront "à l'économie spirituelle et temporelle de l'hôpital des frères Charon de Montréal et suivront les vues qu'ils ont d'établir des maîtres d'école dans chaque paroisse"; tâcheront d'avoir chaque année un juste état "du produit des fruits" de la terre; protègeront le commerce des marchands forains; laisseront sortir librement les denrées destinées à l'île Royale; demandent des ordres pour que le commerce de la Nouvelle-Angleterre dans cette île ne cause aucun tort au commerce canadien; se conformeront aux lettres patentes concernant le commerce étranger dans les colonies; tâcheront de "pourvoir au remplacement de ce que" les Antilles tiraient de la Nouvelle-Angleterre, tels les bois, poissons et huiles de poisson; favoriseront le commerce des chevaux et des bestiaux avec les Iles, même si les bâtiments du Canada ne sont pas assez grands pour cela; se concerteront avec les autorités des autres colonies (d'Orgeville, Champigny, Saint-Ovide, Mézy) pour développer le commerce intercolonial, dont celui "par entrepôt à l'île Royale"; exciteront les habitants à s'établir "du côté du sud en descendant le fleuve", même si toute la côte depuis l'île Saint-Barnabé jusqu'à Gaspé est inhabitable; veilleront à l'exécution des ordres concernant la distribution de l'eau-de-vie, "la défense des indiennes" et les prix des différentes espèces de castor; on "sera très réservé dans la distribution des 18 médailles" reçues pour les Indiens; ont remis à Courval ses provisions de procureur du roi à Trois-Rivières; n'ont pas de nouvelles récentes de l'établissement des Anglais sur l'Ouabache; les Abénaquis de l'Acadie auront part à la gratification de 4000 l. réservée auparavant aux seuls Abénaquis domiciliés: consulteront le père de La Chasse pour sa distribution; les 99 soldats de recrue ont suffi à peine à remplacer les invalides, les soldats congédiés et ceux qui s'établissent au pays; demandent quelques compagnies de troupes réglées si on n'accorde point les 1500 hommes demandés par Beauharnois; demandent des couteliers et des scieurs de long; le mémoire de Beauharnois et Dupuy sur la pêche aux marsouins n'a pas été complété, à cause du voyage de Boishébert en France (concurrence néfaste des riverains); gratification continuée à Peire; échec des efforts de Beauharnois pour vivre en bonne intelligence avec Dupuy; dettes du frère Chrétien; gratification octroyée aux hospitalières de Montréal; augmentation de fonds sollicitée par ces religieuses et par les ursulines de Trois-Rivières pour leur coffre de remède; vases et ornements accordés aux jésuites pour l'église de Narantsouak; envoi d'un missionnaire chez les Hurons de Détroit et de deux jésuites chez les Sioux (instruments de mathématiques à remplacer); moyens de réduire le commerce de Chouaguen: ordres donnés pour obliger les voyageurs qui reviennent des pays d'en haut à passer par le nord du lac Ontario, proposition de fournir le poste de Niagara de toutes les marchandises nécessaires aux Indiens et de les leur donner à meilleurs prix que ceux fixés par la Compagnie des Indes; projet de Chaussegros de Léry d'établir un poste à la Galette; projet discutable d'enlever aux officiers l'exploitation des postes de l'Ouest et de les affermer à des marchands; motifs de l'expédition de Lignery contre les Renards: nombreux coups de ces Indiens, envoi de colliers souterrains par les Anglais aux nations de l'Ouest; refus du roi de faire construire une citadelle à Québec; nécessité de fortifier cette ville (projet de Chaussegros de Léry); travaux effectués à l'enceinte de Montréal (fonds annuel); difficulté de faire le recouvrement de l'imposition (retenues effectuées sur la gratification des sulpiciens): proposition de décharger les habitants de Montréal des six années d'arrérages et de leur faire payer, à compter de 1730, la somme de 5000 l. par année; confection du papier terrier: aide fournie aux sulpiciens par Raimbault; abondance de la récolte; remboursement des dépenses de Lignery; réclamations de Duplessis-Faber et Villiers.