Réseau du leadership (Canada) : Le Réseau du leadership (LRL) a été créé le 3 juin 1998 en vertu du décret C.P. 1998-952 (en tant que descendant institutionnel direct du Groupe de travail La Relève qui amorça ses activités en janvier 1997). L'organisme distinct nouveau a reçu un mandat qui précise et étend les aspects du mandat initial du groupe de travail. Le Réseau du Leadership a été essentiellement conçu comme un mécanisme pour maintenir l'élan et veiller à ce que la réforme du service public sous la rubrique de La Relève ait été consolidée afin d'éviter le sort de l'effort sans succès du renouvellement de la fonction publique connu sous le nom de la fonction publique 2000 (vers 1990 -1993).
De 1998 jusqu'en avril 2001, le Réseau du leadership (LRL) opéra sous le statut d'un organisme ministériel se rapportant à un portefeuille du Premier ministre (avec l'appui administratif du Bureau du Conseil privé), mais avec sa relation de rapports de fond au Comité des hauts fonctionnaires (CHF), un comité interministériel composé des administrateurs généraux soutenant le rôle de planification stratégique du greffier, en tant que « Chef de la fonction publique ». En vertu du décret C.P. 2001-609 du 11 avril 2001, le contrôle et la supervision du LRL ont été transférés du Premier ministre au président du Conseil du Trésor. Son nouveau statut équivaut à une quasi-direction indépendante dont il rend compte directement au secrétaire.
Le mandat du LRL ne se rapporte pas à toute la fonction de gestion des ressources humaines, mais plutôt à la sous-activité beaucoup plus fine de la gestion des niveaux supérieurs de la fonction publique. LRL exécuta cette fonction dans le contexte de la réforme et de l'initiative de renouvellement qui est expressément mandaté de la mettre en valeur. Plus généralement, il convient de faire la distinction que la nature de toutes les composantes du programme est l'application d'un programme (pas le développement de la politique en soi). Officiellement, la niche de marché du LRL est de « créer des réseaux de chefs à tous les niveaux ». Il le fait dans un cadre de politique préétabli créé par le Conseil du Trésor et le Comité des hauts fonctionnaires.
Le mandat distinct du Réseau du leadership comporte trois composantes étroitement liées et intégrées : tout d'abord, La Relève « soutenir l'action » dans l'ensemble du gouvernement pour développer des partenariats étroits et des liens horizontaux avec les ministères, organismes, régions, collectivités fonctionnelles, les organismes centraux et soutenir les réseaux existants; deuxièmement, la « Gestion intégrée des sous-ministres adjoints » par suite d'un secrétariat distinct de guichet unique et, enfin, la promotion du réseau de leadership, de développement et de soutien. Ensemble, les processus opérationnels associés à ces trois aspects du programme de l'activité constituent une seule opération aux petites entreprises.
Au centre de l'état du Réseau du leadership en tant qu'entité distincte est le concept de la « Gestion intégrée de la communauté des sous-ministres adjoints ». En sa qualité de chef de la fonction publique, Jocelyn Bourgon, Greffier du Conseil privé a fait sienne cette notion en juin 1997 après qu'il a été développé par le Groupe de travail La Relève et recommandé par le Comité des hauts fonctionnaires (CHF). Le concept implique la refonte du cadre 220-290 de la plupart des gestionnaires de programme principal, sous les administrateurs généraux et leurs adjoints, comme une ressource intégrée soit maximisée par rapport à l'ensemble du service public plutôt que par rapport à un ministère particulier. Le concept met l'accent sur la valeur des SMA comme « joueurs ministériels » qui comme une question de conception assumera diverses tâches et la rotation de placement. Le programme a été une extension du concept de nomination à un niveau déterminé pour les fonctionnaires de la haute direction en vertu de la Loi sur la réforme de la fonction publique de 1993. La politique du Conseil du Trésor sur le déploiement des cadres de direction (une responsabilité mandatée au CT), publiée le 18 juin 1997, prévoit que le système de nomination à un niveau déterminé pour les SMA sera géré collectivement par les sous-ministres à travers le CHF. Le Réseau du leadership élabore et offre des programmes réels pour effectuer ces objectifs tout en encourageant les activités destinées à encourager et subventionner des réseaux de direction dans les différentes hiérarchies verticales traditionnelles.